Quoi de neuf ?

jeudi 5 décembre 2019

Calendrier de l'Avent étymologique 005 - aqua

En ce jour où beaucoup espèrent qu'un certain projet tombera à l'EAU...


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mercredi 4 décembre 2019

Calendrier de l'Avent étymologique 004 - anti

Nous échapperons à l'ANTImatière : trop dangereux !


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mardi 3 décembre 2019

Calendrier de l'Avent étymologique 003 - chrono

Ce mardi, nous éviterons les anaCHRONISMES CHRONOPhages.


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lundi 2 décembre 2019

Calendrier de l'Avent étymologique 002 - graphe

Et pour ce lundi, la racine sera GRAPHE.


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dimanche 1 décembre 2019

Calendrier de l'Avent étymologique 001 - mono

Il n'y a pas de raison pour que seuls les fabricants de chocolats, de bières, de bougies, de confitures et de jouets s'amusent à confectionner des calendriers de l'Avent (du latin adventus, advenir). À raison d'une carte par jour, je vais tenter de mettre en ligne une version étymologique de cet exercice de style, qui correspond aux cartes que je remets chaque semaine à mes élèves, en les chargeant d'en réaliser les illustrations... Celles-ci nous entraînent sur de biens beaux débats linguistiques...


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Les cartes sont prévues pour être imprimées recto-verso, de préférence sur un papier quelque peu épais (genre bristol 160 g/m²).

jeudi 24 mai 2018

Le colloque ICEM 34 - Pidapi - CRAP en images

C'est sûr, quand on confie la caméra à des pros, cela donne de sacrées images... :o)


lundi 21 mai 2018

Le goujat de confiance

Et le prix de la beaufitude 2018 est attribué à Darty Lyon Part-Dieu pour sa vision de l'égalité femmes-hommes. Où alors il s'agit d'un second degré de mauvais goût en raison du nom du modèle...


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vendredi 27 octobre 2017

Retour de stages 2017

Un très bon début de vacances, qui a débuté par la Deuxième journée de la coopération organisée à Albertville par l'ICEM 73.


De sympathiques collègues ont enduré ma présentation de classe puis, après un repas coopératif, la bonne quarantaine de participants s'est répartie dans deux sessions d'ateliers successifs.


Démarrer en Montessori en maternelle ou l'articuler avec une classe “classique” ou travailler la numération avec des outils Montessori, utiliser les messages clairs, monnaie intérieure, conseil et Quoi de neuf ? en maternelle, Maths en vie... Un riche contenu qui a certainement encouragé chacun·e à mettre à profit les vacances en cours pour réaliser quelques aménagements dans sa classe.


Le blob (physarum polycephalum) que nous élevons en classe depuis la rentrée en a profité pour prendre un peu l'air de la montagne et avaler quelques flocons d'avoine...


C'est ensuite à Pont-Saint-Esprit que l'équipe d'organisation du stage s'est retrouvée samedi soir, découvrant au passage la vingtaine de gilets d'accueil réalisés par Cécile et L'Iza, qui remplacent très avantageusement les gilets jaunes réfléchissants précédents.


Les kakemonos coopératifs réalisés à partir des fiches de Sylvain Connac ont été installés dans l'aile de la salle du conseil du domaine Saint-Pancrace qui nous accueille.


Un cadre fort agréable, ma foi (d'autant qu'il y a désormais wifi et 4G ;o) ).


Les 90 adultes et 20 enfants ont donc passé 4 jours en organisant eux-mêmes leurs activités.


Parmi les ateliers d'accueil, les blobs ont fait des petits : "repiquage" et sclérotes furent au programme, aidés en cela par les vidéos et l'ouvrage d'Audrey Dussutour : Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le blob sans jamais oser le demander.


Plusieurs ateliers ont permis de découvrir Pidapi ou d'avancer dans son utilisation.


Un des premiers ateliers a porté sur la gestion des émotions et la communication non-violente.


Il a été possible d'y découvrir l'excellent album pop-up La couleur des émotions d'Anna Llenas.


L'ouvrage a inspiré la création de jolis monstres des émotions en feutrine, que nous verrons plus loin.


Les soirées ont, entre autres, permis de découvrir les jeux de société de type Escape game : les excellents Unlock et les terribles Exit (qui nécessitent l'impression préalable de quelques cartes pour pouvoir rejouer, car le jeu est progressivement détruit lors de son utilisation, aaaargh ! Heureusement, j'ai confectionné les petits fichiers pdf imprimables qui vont bien... Parce qu'il ne faut pas exagérer ! ;o) )


Les conseils quotidiens, qui permettent d'organiser l'emploi du temps de la journée et de fixer la teneur des ateliers, ont parfois débuté en musique. Ici, avec Lazare et son violon.


J'ai tout de même noté la remarque d'un stagiaire qui souhaite rester anonyme : "La coopération, ça va bien, tant qu'il n'y a pas de frites."


Le matériel Pid'manip, inspiré de la grammaire Montessori , était présent.


Véronique avait apporté sa monnaie intérieure, le Pujau.


Comme chaque année, le marché de connaissances a été un grand succès. Cécile a fait partie des premiers stands des trois sessions.


Il s'agissait de s'initier à la teinture de tissus...


...et d'obtenir des motifs variés en fonction du pliage réalisé.


Je sens que je vais proposer aux élèves d'apporter leurs vieux-tee-shirts à la rentrée. :o)


Grâce à Lazare, passionné d'informatique...


...nous avons découvert une série de clones de notre petit Thymio...


...capable de se suivre à la queue leu-leu...


...toujours grâce à l’interface très intelligente qui permet de choisir quatre niveaux de codage.


Voici les monstres des émotions dont je parlais plus haut.


"Joie !"


La réalisation d'avions-fusées en papier.


Emanuelle a proposé un atelier de pliage des petits livres des Éditions Célestines.


La création d'animaux "au doigt".


Petite vue d'une des salles accueillant les stands du marché.


La numération à partir des perles Montessori.


La réalisation de grues en origami.


Peinture de coquillages.


Un petit cerf-volant qui tourne sur lui-même


Initiation au land-art.


Multiplications et dessins animés (zut, j'ai raté ça !)


Un tour de magie... surprenant... à l'aide d'un verre, d'une pièce et d'une feuille de papier journal.


Créations de poupées-tracas...


...inspirées par l'ouvrage d'Anthony Browne Billy se bile.


Comment retirer la pièce sans (presque) se mouiller les doigts ?


Un stand de dingbats, qui a rencontré un grand succès.


Je pense qu'il va entraîner une petite exposition...


...dans les couloirs de l'école, au retour des vacances.


Tressage et customisation des cordons de casques audio : c'est la fin des nœuds !


Utilisation d'un métier à tisser.


Confection de slime à partir de Maïzena et de liquide vaisselle.


Réalisation de superbes cartes à partir de feuilles et de terre.


Recyclage de papier pour en faire des sacs...


...du plus bel effet.


Gestion des degrés d'autonomie en classe.


Agnès présente un dessin animé de deux images.


Présentation de la méthode heuristique de mathématiques.


Un rituel mathématique pour la classe.


Confection de têtes de lapins en origami.


Création d'un petit livre par jour (aquarelles et textes) pendant un an. Ouaouh !


Fabriquer un croc'livre.


Découverte du jeu La Boca, qui nécessite un bon repérage dans l'espace.


Prélever, analyser et comparer des empreintes digitales.


Découvrir P'tit Dapi (et harceler une fois de plus un des auteurs en lui demandant quand il sortira).


Réaliser un film en stop motion.


Créer une boîte en origami.


Bref, autant d'activités qui se marient bien...


...avec les moments moins formels.


Un bilan pédestre a été réalisé le mercredi...


...autour d'un tas de cendres dont l'imagerie thermique nous indique qu'il était encore à 181°C.


Nous avons ainsi pu découvrir certains recoins du domaine...


...avant que le stage prenne fin à proximité de la chapelle.

Une fois de plus, ce fut une belle édition... Les photographies des années précédentes se trouvent ici :

2009 2010 2011 2012 2013 2015 2016

jeudi 26 octobre 2017

Kakemonos pédagogiques

Après un beau début de vacances pédagogique au sein de la journée de l'ICEM 73 et du traditionnel stage de Toussaint de l'ICEM 34, dont les photographies arriveront bientôt, voici quelques sympathiques documents que nous avons été quelques uns à élaborer (merci en particulier à Cécile et L'Iza !) à partir des fiches thématiques de Sylvain Connac qui sont en ligne sur le site de l'ICEM 34.

Les kakemonos sont de grandes affiches déroulantes et autoportantes imprimées sur une toile cirée (au passage, merci à France Banderole pour leur professionnalisme). Ceux-ci abordent des points forts de la pédagogie coopérative : son vocabulaire, le travail de groupe, l'aide et le tutorat, les conseils coopératifs, les démarches de projet, les jeux coopératifs, la gestion de classe, les marchés de connaissance et les plans de travail.


Voici les fichiers pdf des 10 kakemonos, téléchargeables d'un clic sur leur miniature.










dimanche 15 octobre 2017

Degré de liberté

Après 4 ou 5 ans de bons et loyaux services, un changement de smartphone s'est fait de plus en plus pressant. J'en ai profité pour opter pour un modèle capable de réaliser des photographies thermiques, ce qui nous a permis moult essais et découvertes (tournant principalement autour de la capacité à "lire le passé", clin d’œil au feuilleton d'Hermès) : savoir quelle bille a été touchée dans un plein sac, pouvoir indiquer où les personnes étaient assises, si l'on a touché tel ou tel objet et de quelle main... Les expériences permettant d'aborder le rayonnement infrarouge, invisible à l’œil nu, sont légion... Voici quelques morceaux choisis...


Tout d'abord, dans la salle des maîtres, on repère deux jolis ponts thermiques près d'une porte extérieure, deux radiateurs en cours d'allumage (il faisait froid ce jour-là) et un verre de thé prêt à boire. On peut même deviner quelles feuilles sortent juste de la photocopieuse.


Une collègue, qui va replacer un plat dans le réfrigérateur, nous prouve que le congélateur fonctionne. C'est la bouilloire qui a été utilisée pour se faire un thé.


Le micro-ondes a bien tourné. Attention à la pile de Danette qui se réchauffe lentement !


Le lave-vaisselle achève son cycle à l'instant. Quelqu'un vient juste d’allumer le four.


Si besoin était de prouver qu'il fait plus frais à l'ombre...


En un cliché, on repère immédiatement le radiateur qui ne fonctionne pas.


On sait quel casque anti-bruit vient d'être reposé.


Une photo de classe, prise dans le noir, sans flash.


Le carnet de correspondance qu'un collégien de passage a tenu à deux endroits...


Quant au métro lyonnais, il a les pneus qui chauffent !

Bref, je sens que nous n'avons pas fini de trouver des applications à cette sorte de "sens supplémentaire"... L'une d'entre elles étant de permettre aux élèves de se représenter le fait d'être daltonien (une petite appli ipad permettant aux volontaires de se tester sur les planches d'Ishihara a rencontré un grand succès et, malheureusement, des résultats positifs).

mardi 26 septembre 2017

Voilà, c'est dit.

Nicolas Demorand n'en sortira pas grandi, mais rien que pour l'inattaquable définition de ce qu'est le CP, ce moment de radio mérite amplement l'écoute.


samedi 2 septembre 2017

Énigme

lundi 26 juin 2017

¡ Qué calor !

Il est vrai que nous avons eu un petit peu chaud cette dernière quinzaine. Les ventilateurs de la classe ont tourné à plein régime, mais n'ont pas permis de rendre l'ensemble agréable.


Vendredi soir, deux heures après la sortie des élèves, il faisait encore un peu chaud dedans (quand la classe est là, c'est pire) ainsi que de l'autre côté du store baissé...


En tout cas, le rayon jardinage de Super U nous a fourni de merveilleux brumisateurs (4,90 € pièce) qui font la joie des élèves (et des adultes) : 2 litres et quelques coups de piston permettent d'assurer une dizaine de minutes d'arrosage automatique en fine brume rafraîchissante."

samedi 17 juin 2017

Sujets de l'épreuve de philosophie du baccalauréat 2017

Étant donné qu'il n'est pas toujours évident de trouver l'intégralité des sujets de philosophie du bac sous une forme pratique, les voici condensés en un seul fichier pdf. On notera une fois de plus que les lycéens de bac pro ne sont pas confrontés à cette épreuve. Sans doute du fait des mêmes personnes qui estiment inutile de proposer des questionnements de nature philosophique aux enfants.


Cliquez sur la miniature pour télécharger les 11 sujets.

On appréciera la clairvoyance des rédacteurs de Pondichéry, tant pour le troisième sujet de la série L que pour le beau rappel indirect du mythe d'Antigone en série technologique.

vendredi 28 avril 2017

Le Musée des Confluences (5)

Depuis quelques semaines de belles affiches fleurissent dans Lyon ; elles annoncent la nouvelle exposition temporaire du Musée des Confluences : "Venenum - un monde empoisonné". Aucun rapport (a priori) avec un des résultats possibles de l'élection présidentielle... L'inauguration, qui a coïncidé avec le début des vacances de la zone C B A, a assuré un beau succès de fréquentation. Comme je m'y rendrai avec mes élèves le 8 juin, j'ai effectué une première visite préparatoire. Une seconde, plus précise, permettra de mettre à jour le carnet de visite établi précédemment, en incluant les nouvelles salles, dont la prometteuse "Carnets de collections" qui ouvrira le 16 mai prochain.


La visite débute par la Plaque Campana, une argile peinte d'époque romaine qui représente Égée, roi d'Athènes, tentant d’empoisonner Thésée, l'héritier légitime du trône.


S'en suit (entre autres) une grande toile représentant la mort de Démosthène, opposant à Philippe II de Macédoine, empoisonné parce qu'il a mordillé son calame (voilà qui devrait servir à l'édification des élèves qui en font autant avec leur stylo).


Cette sympathique Cléopâtre Théa (164-121 av. J.-C.), reine de Syrie, tente d'empoisonner son fils un peu trop indépendant à son goût.


Néron, aidé par Locuste, testant sur un esclave le poison qu'il utilisera sur Britannicus.


Catherine de Médicis, qui aurait utilisé quelques savoirs florentins pour "éloigner" la concurrence.


Une timide rascasse volante, parfois mortelle pour les humains.


Un poisson-feuille, qui n'attend pas l'automne pour faire tomber ceux qui lui marchent dessus.


Un serpent-liane (couleuvre verte à long nez) qui, tout comme une candidate à la présidentielle, est opistoglyphe.


Un squelette de vipère du Gabon. Un serpent qui n'est pas spécialement agressif tant qu'on ne lui marche pas dessus. Et, en gros, c'est la dernière chose que l'on fait dans sa vie.


Cela me rappelle une liqueur de cobra que j'avais goûtée une fois. C'était assez infâme. Cela ne vaut pas le plat de côtes de python à la bière (cuisine gabonaise)...


Une belle mise en scène, très sombre, comme toujours. On espère juste qu'aucun pensionnaire ne se fera la malle...


Qui a dit que les grenouilles étaient vertes ? Le dendrobate à tapirer bleu perd sa toxicité en captivité. Matière à réflexion...


Une rainette jaguar, qui puise elle aussi, vraisemblablement, la toxicité de son mucus dans son alimentation d'origine.


Il existe près de 500 espèces de poissons vénéneux. La toxine des tétraodons, par exemple, n'a pas d'antidote connu.


Une sympathique veuve noire, dont l'alpha-latrotoxine est quinze fois plus toxique que le venin du serpent à sonnettes... et intéresse les laboratoires pharmaceutiques.


De petites méduses bleues (que l'on consomme en Chine et en Indonésie).


Une pipe en amiante. Mieux que le Tac-o-Tac : on a double sa chance de cancer en un seul tirage !


Les animations vidéo ne sont malheureusement pas audibles lorsqu'il y a un grande fréquentation de la salle... Le son, très directionnel, est trop faible. On se contentera donc de se demander quelle est cette chouette police de caractère que l'on retrouve un peu partout...


On ne le dira jamais assez : "Ne mangez pas les salamandres". D'ailleurs, le code couleur est très clair. La toxine qu'elles sécrètent est nommée "salamandin". On croirait presque qu'il s'agit d'une confiserie régionale...


De l'arsenic (sans les vieilles dentelles).


Du cinabre, dont on extrait le mercure liquide.


Du plomb natif (cérusite, galène...)


Un sympathique mélange d'arsenic et de plomb peu apprécié des doryphores. Son usage est inexplicablement interdit en France depuis 1971, certainement sous la pression du lobby des cancérologues.


Une mygale saumonée.


De mon point de vue, elle tient tout de même plus de l'arachnide que du poisson. Mais je ne suis pas éthologue.


Le loris lent lèche régulièrement les glandes qui, dans ses coudes, produisent des substances toxiques. Cela lui permet de rendre ses morsures venimeuses et de rendre ses petits impropres à la consommation pour ses prédateurs. Sympa, la peluche !


Nous retrouvons notre pauvre ornithorynque, qui a donc changé de salle. La naturalisation de son bec me laisse toujours aussi sceptique : on dirait un bout de plastique mal ajusté. Les mâles possèdent un éperon venimeux sur leurs pattes arrières capable de tuer un chien. Cet éperon est atrophié chez les femelles, ce qui les différencie d'une candidate à la présidentielle.


Plein de petites bêtes que l'on préférerait ne pas retrouver au fond d'une de ses chaussures...


Le serpetum museensis adore, de façon assez inexplicable, se lover dans les bocaux de formol. Bizarre.


"Votez pour moi" crie le marchand de mort aux rats.


De quasi-hologrammes évoquent les liens entre humanité et produits toxiques.


Des boîtes de médicaments qui sont du plus bel effet dans la pharmacie familiale : des doses injectables de sérum antivenimeux. Certains contrepoisons étant aussi dangereux que le venin d'origine, ne pas oublier d'apporter sa mygale avec soi quand on se rend aux urgences... Pas très loin (mais difficile à photographier sans flash), on trouve un bézoard monté sur bague... Les fans de Harry Potter apprécieront (ou encore mes élèves, qui se souviendront que nous avons évoqué les propriétés magiques prêtées à cet objet lors de notre lecture de la BD d'un de nos abonnements de L'école des loisirs "Aliénor Mandragore").


Près de la sortie, un panneau rappelle l'intérêt pharmacologique de nombre de plantes vénéneuses ou de toxines animales.


Bonne nouvelle : quelqu'un a fini par se dire que laisser le public marcher sur des dalles de verre fendues 10 mètres au dessus du sol représentait peut-être un danger. Vivement que cette grande âme se rende compte que les marches extérieures se transforment en patinoire dès qu'il pleut.


En sortant, on peut découvrir la petite exposition de la salle 15 : "Potières d'Afrique".


Quelques vases (pas ceux-ci) peuvent être touchés (délicatement) par le public. Merci de cette confiance !


On aura une petite pensée pour le surveillant, qui entend grincer et claquer 12 000 fois par jour le portillon automatique qui non-gère les entrées.


L'expo est courte et relativement minimaliste, mais nettement moins WTF que celle qui lui fait face et qui porte sur... les pieds (enfin, les vieilles chaussures) !


"Et le prix Nobel de la cervicalgie est attribué à..."


L'ultime salle offre un contraste coloré intéressant.

Cette exposition sur "un monde empoisonné" est visiblement une réussite. L'ensemble des sujets est abordé (je n'ai pas photographié les tablettes présentant les plantes toxiques, ni les oiseaux vénéneux que j'ai apparemment manqués) et l'on ne s'ennuie pas une seconde. On regrettera juste que les passages soient un peu étroits (surtout quand des poussettes viennent y stationner) et les documents sonores peu audibles en cas de haute fréquentation. Le manque de lumière est compensé par une belle utilisation des vidéoprojecteurs qui subliment les bannières pendues un peu partout. Je sens que nous allons nous régaler en juin !

Comptes rendus de certaines visites précédentes : 1 2 3 4

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