Quoi de neuf ?

On solde... Deux pour le prix d'une (en fait, l'une était en ligne depuis belle lurette, mais sans avoir été annoncée ici)...

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Le conte de Prosper Mérimée qui sert de support aux évaluations des élèves de première année se trouve dans la section “Littérature” du site.

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Après vote en conseil de classe, la petite lapine s’appellera désormais Nuage.

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L'aquarium qui avait fait son temps se retrouve heureusement reconverti pour quelques semaines en lapinarium (un bon moyen d'éviter les courants d'air que les lapins extra-nains craignent par dessus tout, à plus forte raison lorsqu'ils sont petits...)

Du coup, Noisette se demande ce qui peut bien se passer...
Étant donnée sa propension à sauter (sur) tout ce qui bouge,
il va rester quelque peu à l'écart...

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À propos d'accroissement rapide de population, justement, notre classe se dotera dès lundi d'un nouveau membre : une petite lapine (le vendeur en est sûr à 80%) blanche extra-naine de deux mois et demi. D'ici la rentrée de septembre, elle rejoindra sans doute la cage de Noisette, le brave lapin extra-nain que nous avons depuis deux ans.

Nous lui trouverons un nom en conseil... J'ai quelques suggestions à faire, mais je suis preneur d'autres idées (mon premier lapin s'appelait, en toute logique, "Arsène (lapin)") : Nuage, Igloo, Flocon, Plume, Miffy, Macadamia... Nous éviterons de l'appeler "Crétin", même si l'idée fait sourire, ou "Niouyear", en référence au lapinou qu'à peu près tout le monde a reçu dans sa boîte mail début janvier en guise de vœux...

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Il est de bon ton d'en dire du mal... Mais lorsque l'on sait un tant soit peu s'en servir (en naviguant dans la page de discussion et dans l'historique d'un article), il est difficile de se faire berner par un quelconque acte de vandalisme.

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Un petit étonnement en lisant, suite à un conseil paru dans une réponse au questionnaire adressé à des enseignants gestionnaires de sites web en début d'année, L'île du crâne d'Anthony Horowitz. L'histoire est celle d'un jeune garçon, maltraité dans sa famille, qui se retrouve envoyé, par le train, faire sa scolarité dans un collège de sorcellerie où les professeurs sont des loups-garous, des vampires, etc. Il s'y fait deux amis, un garçon et une fille... Dans le second tome, Maudit Graal, il tente de marquer le plus de points lors des évaluations scolaires afin de remporter une coupe magique. Gloups... On se dit que l'auteur est franchement culotté... Puis on s'aperçoit que les deux ouvrages ont été publiés en 1983 et 1991... Le premier livre de J. K. Rowling est, quant à lui, sorti en 1997... Voici quelques passages qui m'ont particulièrement plu dans ces romans traduits par Annick Le Goyat (j'ai toutefois quelques réserves au sujet des insupportables passages surréalistes).

"Ils ont deux laboratoires de langues, une salle d’informatique, un gymnase entièrement équipé, et c'est l'unique établissement du pays à posséder son propre cimetière !" (p.22)

"Mais le cours de latin n'a pas été pénible. À Beton, on l'enseignait comme une langue morte (d'ailleurs le prof lui-même n'était pas en très bonne santé). M. Kilgraw, lui, parle latin couramment. Ainsi que tous les élèves ! À la fin du cours, ils bavardaient tous comme de vieux copains et personne n'a mentionné César ni la Guerre des Gaules." (p.62)

"Déjeuner. Bifteck haché. Mais quel était donc l'animal avant qu'on en fasse du hachis ? Je crois que je vais mourir de faim, ici." (p. 64)

"Sur un revers de sa veste, elle arborait un badge : ÉPARGNONS LES ÉLÉPHANTS. Sur son sac un autre badge : ÉPARGNONS LES BALEINES. Et sur sa voiture, parquée dehors, un autocollant : ÉPARGNONS CHEZ L'ÉCUREUIL." (p.9)

"Gregor semblait tout droit sorti d'un film d'horreur. Il avait le visage boursouflé, les épaules de travers, un œil six centimètres plus bas que l'autre, et le cou tordu ; quant à sa peau, on eût dit du fromage moisi. En fait, Gregor avait figuré dans plusieurs films d'épouvante avant d'être embauché à l'école. Il fallait alors une quinzaine d'heures de maquillage pour le rendre moins effrayant.." (p.27)

"Linda [qui avait été changée en grenouille par la prof] sortit derrière lui. Mme Windergast l'avait "reconstituée", mais elle était encore pâle et défaite. David doutait qu'elle devienne un jour une sorcière digne de ce nom. Elle finirait plus probablement sa carrière comme agent de police." (p.35)

"M. Kilgraw [le vampire directeur adjoint de l'école] agita une main molle. Les rideaux étaient fermés, mais le peu de lumière qui filtrait suffisait à le faire paraître plus pâle encore que d'habitude. Un vampire, n'ayant ni reflet ni ombre, risquait d'être réduit en poussière si la clarté devenait trop grande. Et il avait vu trop de ses amis finir à l'intérieur d'un sac d'aspirateur pour ne pas prendre grand soin de sa personne." (p.68)

"J'ai le plaisir de vous annoncer que notre nouveau laboratoire de biologie appliquée a été construit par une main-d’œuvre elle-même créée dans notre ancien laboratoire de biologie." (p.125)

"C'était un Restoroute typique. Chaises en plastique, tables en plastique, nourriture en plastique." (p.151)

Je relaie une information au sujet d'une initiative intéressante : le lancement dans moins d'un mois du site coopératif d'informations sociales et pédagogiques « Questions de classe(s) », auquel vous pouvez apporter votre soutien en signant l'appel en ligne.

Questions de classe(s)
Lire, écrire... lutter

Acteurs de l’éducation : parents, travailleurs, chercheurs, issus de différents horizons associatifs, pédagogiques, syndicaux, etc., nous pensons que les questions scolaires et éducatives (au-delà de l’école) sont des questions sociales.

Notre pari est de proposer un espace alternatif et sans esprit de concurrence au service de tous ceux et celles qui luttent pour changer la société et son école. « Questions de classe(s) », c’est d’abord un site où chacun peut informer, débattre, populariser ses luttes, mutualiser ses pratiques et ses réflexions. « Questions de classe(s) », c’est aussi l’expression d’une démarche collective de mise en commun des points de vue sur l’institution scolaire et plus largement l’éducation, au travers de contributions collectives ou individuelles.

Groupes, associations, syndicats, mouvements pédagogiques, collectifs de luttes ou individus ont besoin de lieux de convergence et de débat. Partant de ce constat, « Questions de classe(s) » se veut un site internet coopératif autour des luttes sociales et des pratiques pédagogiques visant l’émancipation.

Nous pensons qu’il y a une grande similitude entre ce sur quoi se fondent et s’appuient toutes les alternatives, quels que soient les champs sociaux, économiques, politiques dans lesquels elles se développent ou tentent de se développer, comme il y a une grande similitude dans les obstacles et les résistances qu’elles rencontrent.

Nous pensons qu’il y a un lien intime et nécessaire entre pédagogie et lutte sociale et que les réflexions, les luttes et les pédagogies s’écrivent, se partagent.

Vous pouvez déjà assister à la construction du site sur www.questionsdeclasses.org (lancement officiel prévu le 1^er mars).

Nous vous invitons à soutenir et relayer cette initiative en vous joignant aux signataires de l’appel (envoyer un mail à contact@questionsdeclasses.org) ou signez directement l’appel avec le formulaire situé en bas de cette page...

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