Et voilà... de retour d'une semaine bien chargée dans ce merveilleux village... Les mises à jour du site seront amoindries, le temps d’organiser la commande des retirages des quelques 635 photos prises, ainsi que le montage du DVD traditionnel de 35 minutes environ, à raison d'une heure de montage pour une minute de film. Ci-dessous, quelques clichés...


Sitôt arrivés, lundi dernier, nous avons sorti le pique-nique des sacs.


Puis nous nous sommes rendus sur la paroi dite de La Cascade.


Les élèves (dont certains sont déjà venus l'an dernier), ont rapidement retrouvé leurs marques, entraînant les plus jeunes à leur suite (merci les classes de cycle).


L'un d'entre eux, descendant en tâchant de ne pas mettre les pieds dans le ruisseau qui serpente aux pieds de la paroi.


Le ciel a été clément, au départ...


Les voies les plus ardues se trouvent à droite.


Petite sortie du mardi au Gros Doigt ("d'honneur", a rajouté un grand benêt de troisième année), qui surplombe la vallée et le village.


Le Gros Doigt, justement, auprès duquel a été construit un paratonnerre.


On aperçoit les restes des remparts du château médiéval qui gardait le passage d'une vallée à l'autre. Au fond, le Quiquillon.


Les deux grands marabouts servant de lieu de restauration et d'abri en cas de pluie diurne.


L’intérieur du grand marabout.


Notre jolie collection de tentes, dans la zone du camping qui nous est réservée.


Mercredi matin, une belle averse nous a incités à reporter à l'après-midi la grimpe prévue...


...laquelle eut lieu au Belleric...


...une paroi offrant une vue superbe.


Deux lézards lézardant près de la Cascade.


Le jeudi a eu lieu la grande sortie au "Quatre heures", où l'eau se fait rare.


Quelques plantes, nichées dans une anfractuosité de la falaise.


Le pique-nique, commun aux deux classes.


Descente d'un pierrier pour rentrer au village (NB : il est plus facile de monter que de descendre dans un pierrier).


Deux moniteurs "BE d'escalade" ont encadré l'activité...


... qui avait débuté en salle en janvier.


La devise du Baron d'Orpierre était :"Il n'est point nécessaire d'espérer pour entreprendre, ni de réussir pour persévérer" (1544).


Orpierre compte quelques petites places cachées, auxquelles ont accède par des drailles (équivalent des traboules lyonnaises, ces souterrains qui traversent les habitations).


Un des moniteurs d'escalade, à la sortie d'une voie 7b...


Un élève, confiant dans son équipement...


Après un beau "pendule", les volontaires auront bien compris ce qu'est un dévers !