Une très belle seconde semaine de kayak, avec mes élèves cette fois...


Le groupe précédent avait placé la barre "haut...


Il a fallu se faufiler dans les gilets de sauvetage...


Porter des kayaks...


Écouter attentivement les consignes...


Les repas, concoctés sur place, ont rencontré un franc succès (nous avons testé la sauce-salade à l'ail, la sauce-salade très à l'ail et la sauce-salade beaucoup trop à l'ail).


Le meilleur souvenir culinaire reste, reconnaissons-le, la soirée-glace pour laquelle le dessert bénéficie d'un PPRE de qualité ;o)... De un à neuf parfums, au choix (nous adaptons les quantités pour que l'ensemble reste dans les limites du raisonnable stomacalement supportable).


Nous en avons appris beaucoup sur la nature. Certains ont ainsi découvert qu'il y a une différence entre un répulsif à moustiques et un insecticide. Les pauvres araignées qui se sont aventurées dans les tentes sont sans doute moins formelles quant à cette nuance (il semble que l'usage simultané et hystérique de six bombes anti-moustiques sur le même arachnide ait un effet plus proche du Baygon que d'autre chose, finalement). Ci-dessus, un canard et une oie.


Autre découverte, concernant la flore cette fois : quand on est un enfant des villes, il faut se méfier des bonnes cachettes constituées de ces plantes vertes appelées "orties". Ou alors il faut vérifier la présence de plantain pour rectifier l'erreur. Ci-dessus : une des rares femelles colvert et ses petits.


Ah oui, j'oubliais : soulever les pierres qui sont dans l'eau n'est pas non plus toujours anodin (aucune attaque d'écrevisse n'est cependant à déplorer).


La semaine dernière, je citais l'hydrospeed comme sport praticable dans l'Espace des Eaux vives de Saint-Pierre-de-Bœuf : voici à quoi cela ressemble.


Une petite photo du tapis de remontée mécanique des embarcations, vu d'en haut.


Les kayaks sont visiblement conçus pour permettre de tester les pixels colorés des écrans d'ordinateur. C'est bon : tout fonctionne !


13 mètres-cube d'eau à la seconde... Qu'on le veuille ou non, le courant décide de beaucoup de choses...


Parfois, d'un peu trop...


Ce qui entraîne de fréquentes sessions de vidange (kayak vide : 20 kilos ; kayak plein : 150 kilos...)


Mais c'est un régal pour tous... La planche contact des 504 photos susceptibles d'être tirées sur papier est prête... Il ne reste plus qu'à monter les 90 Go de vidéos sous la forme d'un beau DVD, ce qui va prendre quelques dizaines d'heures. Belle trouvaille, cette année : la caméra fixée à l'avant du kayak, qui filme l'usager... Associée pour la même descente à une caméra frontale sur le casque. On devrait parvenir à incruster l'une dans l'autre...