Voici les référentiels de Sciences, que j'ai scindés en trois parties (alors que les programmes font une sorte de gloubi-boulga entre la reproduction, l'énergie, l'espace, la sécurité et le recyclage des déchets. J'ai essayé de distinguer la Technologie de ce qui correspond plutôt à ce que le collège appelle SVT, histoire de conserver une distinction déjà présente dans les ateliers culturels tournants de la classe.


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Le troisième type de Blason tient peut-être plus de la lubie personnelle, influencée par certains cours de Michel Develay sur l'épistémologie des savoirs. Un résumé éhonté réduirait cela à : le “D'où ça vient ?” a au moins autant d'importance que le “À quoi cela va-t-il me servir ?. Or, les instructeurs ont bien souvent tendance à n'en appeler qu'au second domaine pour tenter de motiver leurs ouailles... Avec le résultat que l'on connaît... On estime important que les élèves possèdent des repères sur l'Histoire des Arts ; pourquoi en irait-il autrement de l'Histoire des Sciences ?

Pas question de se contenter d'une biographie poussiéreuse : dans la mesure du possible, la connaissance des travaux d'un inventeur s'accompagnera d'une production "inspirée de..." La plupart des travaux en question ont déjà été menés, collectivement ou non, en classe et bénéficieront du tuilage inhérent aux classes de cycle.

Apparaît également la cuisine, expérimentation scientifique par excellence, dont la réussite est automatiquement validée par nos estomacs sens et ceux du groupe. Et puis, peut-on raisonnablement quitter l'école Primaire sans savoir casser correctement un œuf et en séparer le jaune du blanc ? Résolument non !